Et si tout dans l’oeuvre discographique de Sébastien Schuller ne se résumait qu’à une question de décor? Si, à la manière des grands réalisateurs de cinema, il racontait encore et toujours la même histoire? Entre le trouble intimiste Happiness en passant par le pastoral et délicatement brumeux Evenfall jusqu’au dernier arrivé, le crépusculaire et urbain Heat Wave, les années passent avec…
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